Les imperfectionnistes, ce sont 11 chapitres qui retracent les mésaventures de personnages incompétents, maladroits, inconscients, abonnés à l’infortune, qu’on a envie de plaindre, de consoler, de réveiller…
Ces espèces de nouvelles centrées chacune sur un personnage précis ont un point commun : un quotidien (anonyme) international américain basé à Rome et chaque chapitre se termine par un épisode de l’histoire (en italique) de ce quotidien pas du tout rentable mais auquel son fondateur et ses successeurs tiennent par-dessus tout.
Les personnages, ces « chiens écrasés », sont extrêmement bien typés tant dans leur personnalité que dans leurs relations professionnelles. L’écriture est fluide et le style ciselé.
C’est un roman à rire et à pleurer, très agréable et original.
Commentaire de la libraire : je l'avais lu à sa sortie et également apprécié. Il n'est plus disponible en grand format mais sort prochainement en poche.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire