Il y a quelques semaines, je recevais un mail des éditions Lattès.
Dans celui-ci, un commentaire nous faisant part de l'enthousiasme des éditeurs étrangers pour ce deuxième roman de Grégoire Delacourt (le premier était le très agréable Ecrivain de la famille), à paraître en février.
Joint au courrier un pdf du roman. Hors de question pour moi de lire ce texte sur mon écran d'ordinateur. Il me fallut donc attendre hier que la Poste me dépose une jolie version papier.
Hier soir, donc : 22h30, je m'installe dans mon lit et en commence la lecture. 00h20, fin de la lecture, fin du roman. Je n'ai levé le nez que pour regarder l'heure et me dire de dormir mais cela m'était manifestement impossible.
Je suis sortie du roman impressionnée par l'attraction du texte, l'histoire et ses rebondissements mais également dérangée par l'éventuelle morale. Etonnée par ma propre réaction à l'histoire. Serais-je si rigide sous mon apparence olé-olé ?
A propos : le sujet. Jocelyne Guerbette gagne au Loto. Que va-t-elle faire de cet argent ? Des listes d'envie d'abord. Et puis ?
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