
Le narrateur est à bord d’un Boeing blanc tel Jonas dans sa baleine. Il vole vers le Venezuela, destination Caracas, pour retrouver son ami Xabi Puig (prononcez Chabi !) parti pour faire un reportage sur le dictateur Hugo Chavez. L’ami a disparu ! Le roman est construit de chapitres-flashs, bien écrits certes, mais dénués d’intérêt.
Mais qu’est-ce qu’un roman ? On attendait, paraît-il enfin un « roman » de Dantzig mais comme dit le narrateur (l’auteur ?) : « Les formules [de romans] sont parfois destinées à enivrer l’auteur seul. » (p.60). Et je m’en suis rendu compte au point de me resservir un très bon Glen (Et là, c’était un « Balvenie » 12 ans d’âge !) La suite du vol s’est-elle bien déroulée ? pas de crash à l’arrivée ? A vous de lire parce que moi, l’ennui m’a fait l’abandonner avant la 100ème. J’ai eu beau caresser les pages, aucun génie n’en est sorti.
Livre décevant , décousu et ennuyeux !
RépondreSupprimerQuelques réflexions intéressantes mais tout est fragmenté et sans lien . N'a de roman que le nom !