
Tout austérien qu'il soit, j'ai retrouvé avec grand plaisir le style et les thématiques chères à mon écrivain new-yorkais préféré. L'écriture, l'amour, la maladie, la mort,...
Lu d'une traite car vraiment prise par le récit, je garde toutefois une étrange impression de la fin.
Argh, un nouveau Paul Auster et tu ne me préviens pas !
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