Le mari de la libraire:
Metin Arditi tisse, d'une écriture simple et déliée, un très beau roman polyphonique où chaque personnage semble être le fragment d'une antiquité que le lecteur est en charge de reconstituer. C'est grâce à leurs fêlures que ces êtres se soutiennent ensemble. Le jeu avec le lecteur est habile et ce dernier voit avec bonheur les pièces s'agencer comme dans un mécanisme d'horlogerie suisse ...
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