Les avis d'une libraire-lectrice
vendredi 30 mars 2012
Le passager, J.C.Grangé, Albin Michel
jeudi 29 mars 2012
Saison brune, P.Squarzoni, Delcourt
mercredi 28 mars 2012
Parfois les ennuis mettent un chapeau, J.Parrondo, L'Association
mardi 27 mars 2012
Les fourmis n'aiment pas le flamenco, A.Derrière, Le Castor Astral
Le livre de la vraie cuisine japonaise, collectif, Le Chêne
samedi 24 mars 2012
Miséricorde, J.Adler-Olsen, Albin Michel
La querelle des livres, O.Larizza, Buchet-Chastel
vendredi 23 mars 2012
Quand je serai ministre de la culture..., J.G.Carasso, L'Attribut
mardi 20 mars 2012
L'armoire des robes oubliées, R.Pulkkinen, Albin Michel
Les fleurs de l'ombre, S.Mosby, Sonatine
jeudi 15 mars 2012
La polygamie, pourquoi pas ?, C.Ternaux, Grasset
mercredi 14 mars 2012
Volte-face, M.Connelly, Calmann-Lévy
mardi 13 mars 2012
Alex, P.Lemaître, Albin Michel
Le tribunal des âmes, D.Carrisi, Calmann-Lévy
mardi 6 mars 2012
Beauté fatale : les nouveaux visages d'une aliénation féminine, M.Chollet, La Découverte
vendredi 2 mars 2012
Les autos tamponneuses, S.Hoffmann, Albin Michel
jeudi 1 mars 2012
Garance, une bien belle nuance de rouge T1, Mauricet, Bamboo
Une si belle initiative
L’artiste américain John Locke souhaite que les américains lisent davantage. Pour cela, il vient de créer deux œuvres en détournant le mobilier urbain.
“Les livres sont les plus merveilleuses choses qui existent et tout le monde devrait en posséder davantage” a expliqué l’artiste John Locke à un journaliste du site The Atlantic City. Partant de cette volonté, l’américain a détourné des cabines téléphoniques de Manhattan, qu’il estime “anachroniques”, pour en faire des bibliothèques de rue.
À ce jour, deux mobiliers urbains, sur les 13 659 existants de l’île, ont été aménagés. John Locke a créé des étagères en bois sur mesure qu’il a rempli de livres qu’il avait en sa possession ou qui ont été apportés par les riverains.
“Je n’ai pas beaucoup de budget et aucune volonté de mettre en place des artistes particuliers. Pour le moment, cela va d’Oprah à Jane Jacobs” a-t-il ajouté. “Et j’envisage de monter ce projet près d’une école publique pour y mettre une belle collection jeunesse”.
John Lock voudrait que son oeuvre incite à relancer la lecture : les gens prennent des livres, les ramènent ou déposent leurs propres lectures. Cette initiative utopique, qui a le mérite d’exister, ne semble pas perturbée par les débuts difficiles des deux mini bibliothèques. La plupart des livres de la première cabine a disparu ainsi que les étagères. La deuxième n’a survécu que 6 semaines.
Bien que la ville de New York ne lui ait pas donné son accord, l’artiste envisage des partenariats avec des publicitaires, des anciens bibliothéquaires, des chercheurs et militants culturels pour développer ses idées urbaines.
No comment !